Racisme – Réalisme : A vous de choisir
De quoi s’agit il me direz vous ?
D’un mauvais élève …
Paul Girot de Langlade…
Il aurait eu, semble t il, déjà, il y a six ans de cela, des propos diffamatoires envers les gens du voyage.
De la jalousie à ne pas en douter de la part de notre homme qui n’a pas, il est vrai, les moyens d’acheter des berlines de luxe et des caravanes T5 alors même que, lui, travaille et peut justifier de ses revenus.
Excédé comme tout un chacun par des procédures pour le moins tatillonnes à l’aéroport d’Orly, il aurait plus récemment laissé entendre qu’elles ne sont diligentées que par des noirs.
Encore de la jalousie ?
Je dois personnellement avouer m’être interrogé sur le fait qu’en effet ces postes semblent quasi exclusivement dévolus à des employés de race noire. Y aurait-il délit de racisme anti blanc de la part du responsable de la plateforme ?
En réalité qu’en est il exactement ?
Tout simplement d’un préfet qui a le tort d’avoir le verbe haut et d’appeler le chat un chat.
S’il est vrai qu’un préfet, en tant que représentant de l’état est astreint à un devoir de réserve, nous, administrés, n’entendons pas non plus hériter de fonctionnaires qui font l’autruche au moindre problème et utilisent la langue de bois pour évacuer les dossiers sensibles
Or c’est assez généralement ce qui se passe et la règle suivie devient l’art de se mouiller un minimum en sauvegardant la chèvre et le choux.
Point n’est besoin d’avoir suivi un cursus de L’ENA ou Polytechnique pour arriver à ce résultat affligeant.
Les gens du voyage sont l’objet de toutes les attentions alors même qu’ils défraient régulièrement la chronique des faits délictueux. Ils utilisent régulièrement et gratuitement eau et électricité, squattent sans vergogne les aires publiques voire privées.
D’un autre coté, la sécurité de nos aéroports est régulièrement confiée à des sociétés privées extérieures qui n’ont, à l’évidence, qu’un souci d’ordre purement économique.
Notre homme du mois n’a fait que remettre en exergue des problèmes récurrents jamais
véritablement traités.